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 Chronique de Gringor "Seigneur des lutins"

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Gringor
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MessageSujet: Chronique de Gringor "Seigneur des lutins"   Chronique de Gringor "Seigneur des lutins" Icon_minitimeSam 05 Jan 2008, 20:44

Mes chers frères et soeurs,

Trés prochainement aura lieu un concours d'écriture dont le thème vous sera révélé par ma douce Lhessa lors de son lancement.

J'ai ici un texte datant d'avant ma rencontre avec la sublime Lhessa, conquérante de mon coeur et baume à mes blessures d'antan.

Je voudrai vous montrer par là que les mots couchés sur papier ou page web peuvent avoir une grande portée.

La beauté d'un récit passe par les sentiments qu'il exprime.

Je vous invite donc à faire des récits RP et me porte même volontaire pour vous aidez à formuler les expressions sublimes qui enfouies en vous peuvent révélés une nature d'une rare beauté une fois mises en forme sur le papier.

Ce récit est fermé à toute suite de votre part mais ouvert à vos commentaires.

C'est un texte qui réclame dix minutes d'attention et qui je l'espère vous plaiera.

Gringor "le lutin"


Dernière édition par le Mer 30 Jan 2008, 22:47, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Chronique de Gringor "Seigneur des lutins"   Chronique de Gringor "Seigneur des lutins" Icon_minitimeSam 05 Jan 2008, 20:44

Au son des tambours le régiment avance, la fumée opaque qui se dégage des cadavres encore brulants qui gisent sur le sol fait pleurer les hommes.

En face ils sont beaucoup trop nombreux, en face ils sont mieux armés, en face nous mourrons tous.

C'est à l'heure du fracas des armes et de la tombée des larmes que chaque homme revoit sa vie défiler devant lui. Comment en est on arriver là ? Quelle est cette force invisible, cette présence latente qui nous pousse à monter en première ligne même lorsque tout est perdu d'avance ?

Déjà 6 régiments tombés sous le feu des catapultes et des onagres.

Gringor "le lutin" vit alors quelques fragments de son passé ressurgir parmis les cris de ses hommes lorsque la deuxième salve des catapultes ennemies fit mouche en plein milieu du régiment.

Il se revit en sa terre natale lorsqu'il n'était alors qu'un jeune homme parmis les autres dans son village.


Eléanor, ma belle éléanor ...

Il mumurrait ce nom alors que les régiments d'en face commencèrent à avancer ... à dix contre un la bataille était perdue d'avance mais que diable aucun zorgos ne reculait ... ils continuèrent à avancer.

Souvenirs en cascade et tumulte d'images en tête c'est avec fureur qu'il revit sa sœur et sa famille dans un village décimé et ces hordes d'ennemis jouissant de leur victoire mais surtout de leur tribut en femmes et en esclaves.

Levant sa lame au ciel il poussa en un puissant rugissement le dicton auquel il vouait sa vie depuis son départ vers zivilia
"ne leur cédez rien ... et prenez leur tout !!!"

Dans un bruit comme seul les vétérans pourraient imaginer l'horreur c'est à bras le corps que les premières lignes s'enfoncèrent, chaque zorgos ici avait un proche à pleurer, chaque zorgos ici portait en lui la fureur du desespoir et de la vengeance. Celui qui tombait là pleurait son père, celui qui frappait l'ennemi pleurait son frère.

Ne leur cédons plus rien car ils nous ont tout pris, prenez leur tout car nous n'avons plus rien a perdre.

Vaste utopie que de croire que les zorgos ne sont que des brutes sanguinaires, ils sont les plus sensibles de cette terre, animés par la colère de la tristesse c'est avec l'énergie des hommes éreintés par la vie que les soldats tombèrent.

Seuls quelques régiments avaient été envoyés à notre rencontre, je vis alors mes soldats libérer toute leur fureur sur ces derniers.

Ils allaient payer, nous ne sommes plus des hommes à cette heure des lames, nous sommes des bêtes sauvages assoiffées de mort et guidés par le malheur.

Je vis des hommes désarmés utiliser leur casque pour frapper l'ennemi à terre, je vis des hommes blessés s'enfoncer eux même les lances de l'adversaire dans le corps pour l'atteindre avant de mourir.

Douce mélopée de la guerre endurcie, à ton contact nos malheurs s'effacent, sur les champs de bataille nous libérons notre colère, oooh déesse du malheur entend la complainte de tes damnés, tu nous a tout pris mais nous sommes encore debout, ici et maintenant c'est sur les charniers que nous nous sentons ressusciter.

Très vite la situation devint incertaine, beaucoup de Zorgos tombèrent en emmenant avec eux tous ceux qu'ils pouvaient, l'adversaire reculait mais chacun savait que pour les 3 régiments qu'ils avaient envoyés, il en restait au moins 8 en réserve.

Dans une horde incontrôlable chaque homme pouvant se mouver se mit à charger, viens nous chercher douce mort, le repos éternel sera peut être plus doux que la vie dans ce monde, viens nous cueillir vaste faux des ténèbres car c'est l'arme au poing et le sourire en coin que nous périrons.

Un sifflement strident se fit soudain entendre, le ciel s'obscurcit et c'est sous une volée de flèches et de boulets que le soleil disparut.

Le visage impassible, certains levèrent leur boucliers, les autres prièrent et continuèrent à charger.

Le visage grave je ressentis de vives douleurs tout en entendant les hommes hurler de douleur.

Vaste réalité qui nous rattrape, nous avions dit que là bas nous mourrerions, c'est ici que nous tomberons.


Devant autant de projectiles le dernier régiment tomba, faucher dans sa charge, stopper par le feu des onagres et des catapultes.

Tous à terre le peu qui survit ne se relevait pas, c'est avec la plus grande des sérénités que les zorgos attendaient que le reste des régiments adverses viennent les achever.

Innombrables ils s'approchèrent, d'abord lentement et avec prudence puis avec assurance face aux blessures des survivants.

Réuni dans un cercle de lances, les hommes attendaient passivement qu'on leur donne le coup de grâce.

Je revis alors l’oncle Tom qui venait pleurer mon cousin mort au combat dans le village, de 3 ans mon ainé il avait embarqué pour zivilia et seule une lettre du Zempereur Impérateur en était revenu, appellant plus d’hommes encore et pleurant la mort de ce brave garçon qui avait servis la cause.

Je me souvins de l’indifférence de mon esprit à ces mots dans ces jeunes années, j’avais ma sœur jumelle, mes parents, mon arc et pendant 18 ans de comptes à rendre à personne. Il m’aura fallut attendre la mort d’Eleanor pour comprendre le poids du sacrifice, la puissance de la haine et de la vengeance.

Je revis le drakkar partir le lendemain du massacre et Zorg rapetissé à vue d’œil alors que les survivants en age de tenir l’épée avaient tous embarqué, je me souvint de ce vaste silence de deuil du village qui accompagna notre départ .

C’est le cœur serré et les poings sur les armes familiales que je quittais notre terre … Eleanor, Eleanor … à jamais tu resteras dans mon cœur et le nom de mes terres tu porteras.


"Nous vous avons vaincu" s'écria alors le général ennemi "Nous avons gagné, VICTOIRE !!!" ajouta t'il pour exalter ses hommes.

Avec le peu de force qu'il me restait je pris alors la parole soutenu par deux de mes hommes pour rester debout.

Sans force mais le regard pétillant je déclarai alors ce que tout le monde dans mes rangs pensaient en cet instant :


"Tu nous a vaincu sur ce champs de bataille Général, mais tu as perdu, ce ne fut pas une victoire, ce fut un massacre, ce que tu ne saisis pas c'est que tout ce que tu as gagné c'est d'autres frères, d'autres pères, d'autres cousins que nous avons à pleurer et à venger.

Chaque Zorgos tombé ici appel sa famille a venir combattre, chaque homme que tu nous a enlever nous en ramènera 3 pour le venger, chaque victoire que tu penses remporter augmente nos Forces et nous rapproche de la Victoire.

Force et Victoire ont ils maintenant un sens pour toi Général ???
"

C'est alors que les survivants scandèrent ce slogan de toutes leurs dernières forces, attendant patiemment de donner leurs vies pour notre cause, sachant pertinemment que jamais ils ne tomberont dans l'oubli et qu'à jamais leurs frères scanderaient leurs noms et rappelleraient le sacrifice d'aujourd'hui

"Force et Victoire !!!" Trois mots mais un seul peuple, "Force et Victoire" trois fois rien et pourtant tout.

L'ennemi ce jour là n'épargna que ma vie et celle de mes 2 aides de camps, j'ai beau fermé les yeux je revois encore souvent, des flammes qui lèchent les murs et des charniers géants.


"Souviens toi, souviens toi des hommes dans la bataille, souviens toi, souviens toi car à les oublier jamais je ne pourrai me résoudre"

Fin ?



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Dernière édition par le Dim 06 Jan 2008, 03:09, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Chronique de Gringor "Seigneur des lutins"   Chronique de Gringor "Seigneur des lutins" Icon_minitimeDim 06 Jan 2008, 00:24

Waouh!!!..Ca résume tout...

Très bon texte mon amour...fureur, passion, courage, tristesse..tout y est!!

J'ai adoré, et j'espère bien que tu nous en fera d'autres!!^^

Je t'embrasse mon ange....et je t'aime...

[Petite remarque cependant..quelques fautes de grammaire!!^^
"revoya" n'existe pas...
"Il se revoya en sa terre natale" => il se revit en sa terre natale
"c'est avec fureur qu'il revoya sa sœur" => revoyait
juste technique, je l'avoue..le texte reste parfait!!^^]
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MessageSujet: Re: Chronique de Gringor "Seigneur des lutins"   Chronique de Gringor "Seigneur des lutins" Icon_minitimeDim 06 Jan 2008, 03:11

C'est édité, fautes impardonnables il est vrai, je m'en excuse.

Merci mon amour, je suis content que cela t'ai plut Razz

La suite pourrait être plus joyeuse ^^ (même si on camoufleras autant que faire se peut les passages sensuels Embarassed Razz )

Je t'aime aussi à la folie mon coeur, tu es ma douce faiblesse, ma tendre obsession et l'objet de mes désirs les plus profonds. I love you
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MessageSujet: Re: Chronique de Gringor "Seigneur des lutins"   Chronique de Gringor "Seigneur des lutins" Icon_minitimeMer 30 Jan 2008, 22:08

Ce récit se base sur la réalité de l'échange de messages privés et durant le combat que j'ai put avoir avec mon adversaire.



Les zouvriers posent leurs outils, en sueur ils s'étendent sur l'herbe verte s'octroyant la douceur d'une caresse liquide de nectar d'orange au bout des lèvres.

Ils étaient en avance sur les prévisions, nul doute que le seigneur des lutins serait heureux. Tel un colosse au milieu des plaines s'élevait maintenant la tour du warcenter sur les terres d'Eleanor, royaume du Cacique Gringor.

Une ombre furtive passa dans les bois, personne ne s'inquiéta de cette troublante apparition, l'heure était à la joie et à la fête, enfin les lutins avaient leurs terres et bientot leur armée serait connu de tous. Il ne restait plus qu'aux ambassadeurs à s'employer aux négociations afin d'obtenir des alliances militaires.

S'abandonnant à quelques instants de plaisir les constructeurs admiraient les fiers régiments de lutins des forets s'entrainant sur la plaine. Le spectacle était moins magique qu'à l'accoutumée car ils n'étaient que 4, les six autres régiments étant partis porter secours à quelque seigneur lointain, amis et allié de leur Cacique.

Le bruit d'une conque se fit entendre au loin, douce mélodie suave à l'oreille faisant frémire les feuilles des arbres. Une mélopée envoutante et larmoyante qui plongea tout le monde dans une stase immobile.

Relayé par d'autres musiciens plus proches, le signal se fit plus fort et cette stase qui n'avait durée que quelques secondes se transforma en une véritable vague d'activité. Chaque lutin sorti de chez lui et courut à son poste et les troupes revinrent dans l'enceinte de la forteresse à grand pas.


ALERTE ! On nous attaque !!!

La fourmilière de la citadelle laissa place à la décontenance générale, les informations tardaient à arriver. Qui nous attaquait ? Pourquoi ?

Du sommet de sa tour apparut Gringor "le lutin", chacun s'inclina frémissant de le voir dans son habit de danseur de guerre.

Casque à la main, cimetterres aux fourreaux il pris alors la parole d'une voix grave.


Mes frères !!!

Les travaux avancés du warcenter ont mis à découvert notre royaume ! Le livre des zanciens est catégorique sur ce point nous sommes devenue la cible de nos ennemis.

Je ne sais qui nous attaque, ni le nombre de nos assaillants, mais ce que je sais, c'est que peu importe ce qui franchira l'orée de notre foret nous allons nous battre, je ne veux voir aucun lutin en arrière, que les femmes et les enfants se réfugient au fond de la citadelle, que chaque lutin en age de se battre mette en pratique l'enseignement qu'il a reçu, cette après midi nos terres seront rouges.


Courant alors au warcenter sans attendre sa garde prétorienne le seigneur des lutins y trouva des compagnons aux mines déconfites et un étranger aux allures sombres.

Qui es tu et que fait tu ici ? Parle j'ai fort affaire ici ! lança Gringor cherchant vainement les plans de batailles qu'auraient du commencer à étudier ses frères d'armes.

Je suis le messager du grand seigneur XXXX du peuple Zitros. Nous voulons négocier votre rédission. Notre zespion c'est introduit chez vous ce matin avec une rare facilité et nous savons qu'il ne vous reste que 4 régiments de petits hommes. La proposition est simple, refusez de vous battre et versez nous 500 000 zous ou soyez écraser par nos troupes.

Ces paroles abasourdir les généraux mais claquèrent tel un coup de fouet aux oreilles de Gringor, confusion générale, regards vides et attentes des quelques mots qui devraient décider de l'avenir prospère de ces terres.

La fraction de seconde suivante fut riche en pensée tournayante dans la tête du roi des lutin, accepter cette offre c'était limité les pertes face à une défaite certaine car nul doute qu'en face il y avait 8 régiments et certainement quelques renforts face à 4 régiments de danseurs de guerre. Mais d'un autre coté, céder 500 000 zous réduisait la cagnotte à moins d'une centaine de milliers de zous alors que l'heure de la paye des troupes et des zouvriers approchait.

M'as tu bien écouté Seigneur Gringor "le lutin" ? Quelle est ta décision ? Elle me parait évidente, décline le défi et paie la sécurité de tes terres.

Vas dire à ton seigneur de venir s'il l'ose !!!! Non seulement je relève le défi mais en plus je met l'enjeu maximum ! Je met sur la table des richesses que je n'ai pas mais dit bien à ton seigneur que nous allons nous défendre de toutes nos forces et qu'ici il n'est pas en terres conquises. Tu t'adresses à moi comme à un vulgaire petit seigneur de province ! Je suis Gringor "le lutin", Premier Ministre du GCZ et fidèle Gardien de la Cité d'Ozéon ! Je ne me rendrait jamais sans combattre !

As tu perdu la raison Seigneur Gringor ??? Tu envoies tes troupes à une mort certaine et tu risques des richesses que tu n'as pas !!! Aucun homme digne de ce nom ne ...

Je ne suis pas un homme !!! Je suis un symbole pour tous les membres de ma guilde et je ne peut me résoudre à renoncer sans combattre !!! Quel exemple serais je donc ? Comment pourrais je me montrer digne de mon titre de gardiens ? Comment pourrais je regarder en face les lutins de mon royaume et les yeux de ma belle sans y lire le prix de ma lacheté ? Sad

Dit à ton maitre que cette après midi sur le champs de bataille il se trouvera face à des lutins libres et qu'il ne repartira, peu importe le sort de la bataille, qu'avec une armée ébranlée et à moitié détruite. Vous allez apprendre ce qu'est un Lutin !!!

Fou ! vous êtes fou, rendez vous sur le champs de batailles vous regretterez de ne pas avoir eu l'intelligence de mettre votre fiereté de coté pour limiter les dégats !

S'enroulant dans sa cape noire bordée de jaune, le messager sauta sur son destrier, toisant du regard les troupes en habits de danseur de guerre qui attendaient les ordres.

Sous le silence imperturbable Gringor "le lutin" reprit la parole.

Mes frères lutins,

Nous vivons en paix sur ces terres de foret et de montagnes, j'ai créé ce royaume en souvenir de ma soeur et de nos ancètres qui ont combattu avec les Zorgos, seul peuple qui à bien voulut nous acceuillir en leur sein comme des égaux.

Aujourd'hui, nous allons défendre les couleurs de notre nation, nous brandiront les bannières de notre nouveau royaume et brandiront bien haut les couleurs de la guilde.

Par la sueur de notre front
*petite pause le temps d'une inspiration alors qu'une larme se mit à couler sur le coin gauche de ses yeux humides* et la force de notre courage ... Mes zamis, tous ensemble, hissons nos couleurs.

Force et Victoire

Baissant la tête pour cacher sa peine, il se retourna et avança lentement vers le warcenter afin de préparer la bataille perdue d'avance sous un tonnerre de clameurs des soldats qui, bannières au poings, scandaient ce slogan chère à leur coeur de lutins.

...

Les tambours ennemis ce firent alors entendre, dans le tumulte des esprits échauffés, les soldats se regroupèrent dans la clairière, chacun d'entre eux se remémorant tout d'abord leur famille puis soudain comme un besoin ou une nécessité, se mit à répéter intérieurement chaque pas et chaque passe de la danse de la guerre qu'on leur avait inculqué.

Pirouettes acrobatiques, briser les rangs adverses, ne le laisser se regrouper sous aucun prétexte, interpréter de toute la rage et la souplesse possible une danse des lames sans précédent sur ces terres. Ici pas de lances ni de boucliers, les armures sont légères et les bras armée des deux cimetterres traditionels.

Les tambours se rapprochèrent dangereusement, les quatres chefs de compagnie firent sonner le plus discrètement possible le regroupement, les éclaireurs revenaient, ils étaient deux fois plus nombreux et des rumeurs de quatres à six régiments en renforts furent entendus.


(Ouverture de l'interface de combat, début de la bataille)

Dans un silence de mort une pluie de projectiles s'abattit sur les frèles lutins, l'état des troupes de notre clan n'avait apparement donner qu'une furieuse envie de rire au seigneur X qui lançait sur nous et à l'aveuglette des vagues de boulets d'onagre en feu.

La foret maitresse de notre culture se figea sous l'impact tacite du fracas des pierres qui la meurtrissait, la brulait et l'ecrasait. Oui en ce jour ce fut elle qui reçu les projectiles, protégeant de son couvert les vaillants lutin qui la défendrait.

(L'adversaire avait fait un sur le lancé de dés)

Quand le feu des onagres se tue, nos compagnies se déployèrent, les lutins de la foret d'Opales prirent par la gauche, ceux de la nuit d'émeraude prire par la droite, les deux autres compagnies suivirent leur Roi, Gringor "le lutin", au centre.

Surs de leurs mouvements et le regard perçant, les lutins de la foret d'Opale tirèrent juste sur les premiers rangs de nos ennemis qui pénétraient pourtant dans une clairière où il ne distinguaient que deux régiments de l'armée lutine.

Les traits volèrent dans une formidable harmonie et c'est sans s'en rendre compte que les premières lignes ennemis mourraient.


(J'avais fait 5 sur mon lancé de dés)

Toujours plus nombreux à passer la lizière le surnombre se fit ressentir et progressivement les ennemis avancèrent dans la clairières se réunissant en lignes de boucliers alors que leurs archers décochèrent leur premières flèches, les lutins au centre furent gravement touchés, sans boucliers pour se protéger.

Les rangs lutins se ressérèrent sous le poid des pertes et des cadavres que chonchaient le sol suite à cette vague de flèches.

Auncun ennemi ne l'entendait mais chaque lutins réagit à son appel, personne à part eux ne pouvait déceler cette mélopée outrageusement envoutante qui s'élevait sur le champs de bataille. Le corps à corp allait bientot débuter, les danseurs de guerre entandait la mélopée des lames.


(l'ennemi avait fait 4 sur son dés)

Soudainement envahis par cette musique intense les lutins entrèrent dans une transe morbide, les yeux injectés de sang et les mouvements aussi rapide que souples agitèrent autour d'eux leurs cimetterres dans un enchainement complexe afin de faire connaitre leur maitrise des lames. C'était le premier pas.

Ils se mirent alors à courir vers l'ennemi, regrouper au centre avec leur seigneur et guide Gringor, c'est la compagnie du Grand Ordre qui ouvrit le bal.

Arrivés à quatre mètres des lignes ennemis les premiers rangs s'élancèrent dans les airs en salto avant, tout en faisant tournoyer leurs lames dans tous les sens avant d'attérir au milieu du régiment adverse.

La deuxième ligne de la compagnie profita de la surprise de l'ennemi qui avait suivit du regard le saut de ces petits êtres. Ils tendirent leurs bras sur les cotés, pointe du cimetterre bien tendue afin de prendre leur posistion. Puis dans un élan pris sous un bruit de fracas féroces mélant la musiques aux cris des victimes, aux bruits de métal entrechoqué et de la chair qui cède, les danseurs de guerre entamèrent des vrilles dynamiques au rythme scandé et éffreiné du son qui leur battait les tympans alors que ceux qui avaient sauté au mileu des lignes firent de même.

Ce fut un massacre dans les lignes ennemis, les corps s'empilaient à mesure que les lutins avançaient jusqu'à destruction totale de l'unité ennemi.


(J'avais fait 6 sur le dés et joué un tap Zi qui doubla mes dégats)

Les lutins se battraient jusqu'au bout malgrés les scandes hostiles de l'adversaire qui jurait par tous les dieux que ses autres régiments auraient raison de nos troupes car une carte ezpion lui avait permis de déterminer que nous n'avions aucun renfort.

une volée de flèches ridicule vint s'abbatre sur nos rangs, les projectiles se perdant dans le couvert de la foret, nous avions dépassé la lizière en détruisant le premier régiment, le reste du combat aurait lieu dans la foret.

(l'ennemi avait fait 2 sur son lancé de dés)

Comme une réplique fébrille dans le creschendo agressif de la musique de guerre, la Compagnie des lutins de la Nuit d'Emeraude, qui avait avancé à couvert et d'une rare discrétion à travers foret, chargea le flanc droit du deuxième régiment de nos ennemis.

La surprise fut total pour ces derniers qui fauchés par la vague de lames en mouvements tentèrent tant bien que mal de se réorganiser en une ligne correct.


(J'avais fait un 5 sur les dés)

Ils s'accoudèrent cote à cote pour survivre et un véritable mur de bouclier s'éleva tandis que quelques lances persèrent la chair tendre de quelques lutins qui s'étaient attardés sur un pas ou qui tentaient de sauter par dessus le mur.

(L'ennemi avais fait 4 à son jet de dés)

C'est alors que la Compagnie des Lutins de la Foret d'Opale firent mouche sur nos ennemis, les prenant à revers dans un tir croisé, l'enemi bloqué par son propre mur de bouclier contre lequel poussait la Compagnie de la Nuit d'Emeraude alors que les vagues de projectiles des lutin les firent céder sous le poid de la panique.

Au loin on entandait des trompes percutantes et agressive, dénuées de toute beauté, comme un appel à la mort auquel nos ennemis répondir par une retraite mélée d'une fuite.

La corne ennemi rappelait tous ses compères, avaient ils compris que nous lutterions jusqu'en enfer. Que les lutins, peuplade des royaumes zorgos étaient maîtres ces terres ?

Sous le regard incompréhensif du Seigneur des lutins, l'ennemi se retirait, comprenant que le terrain était loin de leur être favorable.


(J'ai eu la carte MortZubit entre les mains, tout le combat grace à elle s'est joué sur un seul lancé de dés, mon adverse à fait 4 ... j'ai fait 5)



Le bilan formidable de cette bataille fut une montagne de zous ainsi que le ralliement des tribus de lutin des plaines blanches et des montagnes noirs, qui renforcèrent mon armée de 4 régiments de niv 10.

La suite s'est déroulée à la taverne sur le topic "tournée générale "
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